LA BERGERE SANS CULOTTE
Nombre de pages | 128 |
Langue | Français |
Date de parution | 19/01/2021 |
Référence | A00324N |
Extrait gratuit
CHAPITRE PREMIER
Le mois de juillet s’annonçait chaud. Comme chaque année, il faisait déferler sur la Lozère son contingent de vacanciers. Le pays, après avoir été longtemps délaissé, devenait à la mode. Les hôtels et les campings affichaient complet. Tout le long de la route, étroite et sinueuse, qui reliait Uzès à Florac, ça n’avait été qu’une suite ininterrompue de voitures, de caravanes et de camping-cars, chargés de canoës, de planches à voile, de VTT, sans compter les poids lourds qui peinaient dans les côtes et ralentissaient encore la circulation.
Mais Jean-Max se souciait peu des embouteillages. Il en tirait même une certaine jouissance, à voir les regards d’envie que lui jetaient les pauvres touristes, prisonniers dans leurs boîtes surchauffées, quand il les doublait d’un coup d’accélérateur triomphant. Le moteur de la Honda tournait comme une horloge bien réglée.
Un peu avant Florac, le jeune garçon fit une courte halte sur une aire de repos, ombragée de grands châtaigniers. Il consulta sa carte. Encore quelques kilomètres et il devrait prendre une petite bifurcation sur la droite pour gagner le minuscule hameau, berceau de ses ancêtres, où il comptait passer les deux mois de vacances, dans le calme et la solitude. Exactement ce qu’il lui fallait pour préparer le rattrapage du bac.
Jean-Max n’était jamais venu en Lozère. Ses grands-parents avaient quitté ce département misérable un peu après la guerre pour venir s’installer à Paris où ils avaient ouvert un commerce de charcuterie. Ses parents, nés tous deux dans la capitale, étaient indiscutablement de vrais Parisiens. Quant à lui, il ne jurait que par la Ville lumière. Puis, était arrivée cette lettre d’un notaire de Florac. Un grand-oncle, mort récemment, laissait en héritage une maison dans un hameau perdu au pied du mont Lozère.
— Tu vas t’ennuyer, là-bas, avait dit la mère de Jean-Max.
La pauvre femme était angoissée par l’idée d’une si longue séparation. Jean-Max avait haussé les épaules.
— Dans une semaine tu seras de retour, avait prédit son père.
Mais Jean-Max se sentait attiré. Il avait raté lamentablement son bac et, pour couronner le tout, sa petite amie venait de le laisser tomber. Tous les ingrédients se trouvaient réunis pour qu’à seize ans lui vienne le désir de se retirer du monde. L’obtention récente du permis moto, et la Honda que son père avait consenti, après beaucoup d’hésitations, à lui prêter, avaient emporté la décision.
Un couple d’Allemands, appuyé contre un arbre, sans se soucier des regards indiscrets, s’embrassait à pleine bouche. La fille, vêtue d’un short extrêmement court et d’un T-shirt outrageusement moulant, était blonde, ronde, lumineuse, avec une chair très blanche que le garçon pétrissait à pleines mains. Lui avait le type sportif, sain, le regard bleu et les cheveux encore plus blonds que ceux de sa compagne. Sa main s’était insinuée par l’échancrure du short et fouillait la chatte que Jean-Max imagina tout de suite gluante de mouille.
L’Allemande poussait des petits soupirs et cambrait son corps pour devancer la caresse. En même temps, elle massait, par-dessus la toile du pantalon, les couilles de l’homme. Son regard clair croisa celui de Jean-Max. Elle sourit, sans pour autant manifester la moindre gêne et sans suspendre son geste. Une grosse bosse déformait maintenant le pantalon de l’Allemand. Jean-Max rougit jusqu’à la racine des cheveux. Détournant la tête, il fit démarrer la moto et reprit sa place dans la circulation.
Jean-Max ressentait les vibrations de la machine qui provoquaient des frissons le long de son épine dorsale. Peu à peu, le sang affluait à son sexe qu’il frottait voluptueusement contre le cuir de la selle. Il pensait à l’Allemande. Jamais Katie, son ex-petite amie, n’avait accepté de se faire toucher, et encore moins de le masturber. Tout ce qu’elle permettait c’étaient quelques baisers sur la bouche, et des affleurements sur les seins, mais par-dessus le corsage.
Jean-Max passa chez le notaire, à Florac, pour récupérer les clés de la maison. L’après-midi s’achevait.
Bientôt, Jean-Max quitta la nationale pour s’engager dans un étroit chemin de terre qui montait à l’assaut de la montagne, au milieu des pins et des châtaigniers. Il doubla un groupe de randonneurs qui, sac au dos, suait toute son eau pour la beauté du sport. Il fit comme ça deux ou trois kilomètres avant d’apercevoir les quelques maisons agglutinées contre une barrière rocheuse, disposées en arc de cercle autour de la fontaine, et où il espérait bien passer agréablement ses vacances.
Le notaire lui avait confié une photo de la maison. Jean-Max n’eut aucune peine à la reconnaître. C’était une petite bâtisse de pierres rouges, avec un toit de lauzes, comme toutes ses voisines, construite un peu au hasard, sans l’aide du fil à plomb ou de l’équerre. Attenante, il y avait une bergerie paillée de frais, dans laquelle des agneaux bêlaient lamentablement pour appeler leurs mères qui broutaient dans les prés un peu plus haut.
La bergerie faisait aussi partie de l’héritage du grand-oncle. Mais Aristide, le berger, unique habitant du village à longueur d’année, l’avait réquisitionnée d’office, sans demander l’avis du propriétaire, comme il l’avait fait, d’ailleurs, pour toutes les autres maisons du village qu’il considérait comme siennes puisque personne n’y venait jamais. Aristide était le maître absolu de ce village en miniature.
Jean-Max introduisit la grosse clé dans la serrure rouillée qui résista quelques instants, puis finit par céder. Il poussa la lourde porte de chêne qui grinça sur ses gonds. Il dut attendre quelques instants que ses yeux se soient habitués à la pénombre qui baignait la pièce sans fenêtre, seulement éclairée par l’ouverture de la porte.
C’était une grande pièce, avec un sol de terre battue, un plafond bas, des murs de grosses pierres disjointes, sans crépi. Une vaste cheminée s’ouvrait dans un angle, flanquée d’une vieille cuisinière à bois. Une table de ferme, massive, des chaises paillées, un buffet rustique, composaient tout l’ameublement. Il y avait aussi un évier taillé grossièrement dans une pierre rectangulaire. Ça sentait l’humidité, le moisi et la cendre froide.
Comme toutes les maisons du hameau, celle-ci n’avait ni eau, ni électricité. L’eau se prenait à la fontaine, et une lampe à pétrole suspendue à une grosse poutre du plafond dispensait, quand on l’allumait, une pâle lumière jaunâtre.
Une échelle donnait accès, par une trappe, à l’étage supérieur, dans une chambre seulement éclairée d’une petite lucarne. Il y avait là un lit de fer, une armoire, une table, deux chaises. Une porte basse s’ouvrait directement dans l’étable attenante, au niveau du grenier à foin.
Le grand-oncle avait occupé la maison jusqu’à son dernier souffle. Et Jean-Max se demandait comment cet homme de quatre-vingts ans passés avait pu chaque soir gagner sa chambre en escaladant une échelle. Il fallait que ces gens-là aient une santé, une vigueur extraordinaires.
Dehors, des chiens aboyaient. Des clochettes tintaient au cou des béliers. Les brebis bêlaient pour appeler leurs petits restés à l’étable. Le troupeau rentrait.
Jean-Max ne voulait pas rater ce spectacle. Il courut à la fontaine qui chantait par quatre bouches vives. De là, il découvrait tout le pays environnant. De grosses collines rondes, herbues, délimitées de clôtures, entouraient le hameau. Dans le lointain, se devinaient les forêts de pins, montant haut dans le ciel et bouchant l’horizon. Ici, le soleil se levait tard et se couchait tôt.
Le troupeau coulait sur le petit chemin de terre, comme une eau limpide. Il se répandit bientôt dans le hameau qu’il envahit, enveloppé par les aboiements des chiens et les cris aigus du berger.
Celui-ci était un homme d’une cinquantaine d’années, grand, fort, barbu et chevelu, avec des petits yeux extrêmement enfoncés dans les orbites. Il était coiffé d’un vaste feutre informe et tenait en main un long bâton avec lequel il guidait les moutons vers leurs étables respectives. D’ailleurs, il n’avait pas grand-peine à cela ; les brebis, impatientes, les mamelles gonflées, étaient allées d’elles-mêmes se placer devant les portes qui les séparaient de leurs agneaux.
L’homme découvrit la moto. Il fronça les sourcils. Puis, il vit Jean-Max, appuyé contre la fontaine, il lui jeta un regard mauvais.
— Je suis le neveu de Louis, dit Jean-Max.
L’homme marmonna dans sa barbe quelque chose qui n’avait certainement rien d’aimable et tourna ostensiblement le dos à cet intrus qui débarquait ainsi dans son domaine réservé.
— Faut pas lui en vouloir. C’est un sauvage.
Surpris, Jean-Max se retourna pour voir qui venait de parler dans son dos. C’était une jeune fille à peu près de son âge. Très brune, avec des cheveux qui lui descendaient jusqu’aux fesses, un regard noir, pétillant d’esprit, une bouche charnue entrouverte en permanence sur une jolie rangée de dents très blanches, elle poussait des chèvres dans l’étable attenante à la maison du grand-oncle Louis.
Le regard de Jean-Max s’attarda sur la silhouette fine, revêtue d’une robe légère que la transpiration collait au corps, ce qui mettait en valeur des courbes extrêmement prononcées. La chute de reins, notamment, était très creusée et la robe qui rentrait dans la raie des fesses en accentuait l’arrondi. Les seins, libres sous la robe, étaient gonflés, pulpeux, prêts à jaillir à la lumière.
— C’est Aristide, dit encore la jeune fille en désignant le berger. Il n’aime que la compagnie de ses bêtes et déteste les gens.
Et elle ajouta, comme pour s’excuser :
— C’est mon oncle.
Jean-Max détourna ses yeux irrésistiblement attirés vers la motte proéminente qui se devinait au bas du ventre un peu rond. La fille referma la porte de l’étable dès que la dernière chèvre fut rentrée.
— Tu viens habiter ici ? demanda-t-elle.
— Pour les vacances seulement, dit Jean-Max.
Elle eut un petit rire de gorge très troublant.
— C’est comme moi, dit-elle. Je passe tout l’été ici, pour aider mon oncle. Après, je rentre chez mes parents, à Nîmes.
Elle s’appelait Elodie. Quand elle s’approcha, Jean-Max sentit une odeur forte de transpiration mêlée au suint des moutons. A Paris, cette odeur lui aurait paru insupportable. Mais ici, il ne s’en trouvait nullement incommodé. Cela faisait monter en lui quelque chose d’un peu trouble, en tout cas de très excitant.
— C’est à toi, la moto ? demanda Elodie.
— Oui, répondit Jean-Max.
— Tu me feras faire un tour ?
— Bien sûr.
Ils bavardèrent encore un instant, jusqu’à ce que la voix grasse, autoritaire, désagréable, d’Aristide se fasse entendre.
— Il faut que j’y aille, dit Elodie. Je dois préparer le repas. Mais je viendrai ce soir, sitôt que mon oncle sera endormi. Ce qui ne tarde jamais. Il se couche comme les poules et se met à ronfler sitôt la tête sur l’oreiller.
Jean-Max n’avait rien prévu pour le repas du soir. Il comptait se rendre le lendemain au supermarché de Florac pour faire quelques provisions. Il croqua une tablette de chocolat et des biscuits. Un silence impressionnant s’était abattu sur le hameau. Seul, de temps en temps, un bêlement troublait la nuit qui descendait lentement. Les premières étoiles s’allumaient dans un ciel bleu noir.
Vers dix heures, Elodie arriva. Jean-Max qui avait trouvé un bidon de pétrole presque plein, avait alimenté la lampe. Il l’alluma. La lumière vacillante fit danser les ombres contre les murs.
— C’est mieux que l’électricité, murmura Elodie. Et puis, ça fait un peu peur. J’adore.
Jean-Max évoqua sa vie à Paris. Il frimait un peu devant la jeune provinciale. Il ne perçut pas la lueur moqueuse qui dansait dans ses yeux.
Soudain, il posa sa main sur le bras d’Elodie.
— Tu as entendu ?
— Quoi ?
— Ecoute bien.
Effectivement, un bruit étouffé parvenait de l’étable voisine. Elodie écouta attentivement, puis laissa échapper un petit rire amusé.
— C’est mon oncle. Dis… tu veux te marrer un bon coup ?
Jean-Max haussa les sourcils. Il ne comprenait pas bien où la jeune fille voulait en venir.
Quelque peu mystérieuse, elle lui proposa de monter dans la chambre, en recommandant surtout de ne pas faire de bruit.
Le cœur battant, la gorge un peu serrée, Jean-Max suivit Elodie qui escaladait l’échelle en silence. Elle semblait connaître parfaitement les lieux.
— Viens, chuchota Elodie.
Elle entraîna Jean-Max jusqu’à la porte basse qui s’ouvrait sur le grenier à foin. Encore une fois, elle recommanda le silence. Arrivée au bord du grenier, elle se mit à plat ventre, dans la paille, et fit signe au jeune garçon d’en faire autant.
Dessous, la pâle lueur d’une lampe-tempête éclairait les chèvres surprises dans leur sommeil.
Pour l’instant, Aristide s’affairait. Il avait saisi une jeune chèvre au pelage blanc et, à l’aide d’une grosse corde, il lui fixait solidement la tête entre deux madriers en croix. Quand l’animal fut totalement immobilisé, l’homme défit la ceinture de son pantalon qui glissa aussitôt sur ses chevilles. Dessous, il ne portait pas de slip. Elodie, une lueur malsaine dans l’œil, désigna du doigt, à Jean-Max, le sexe du berger. Le petit Parisien n’en revenait pas. Jamais il n’avait vu une bite semblable. C’était comme un gros saucisson, raide, veineux, poilu, érigé en arc de cercle.
D’une main, Aristide, rouge d’excitation, tirait violemment sur son membre, repoussant la peau épaisse du prépuce, décalottant un gland violacé, en forme de gros champignon. Il s’approcha de la chèvre par-derrière, la maintint fermement en passant un bras puissant sous son ventre pour qu’elle reste totalement immobile, et, cessant sa masturbation, il entreprit de palper le sexe de l’animal. Fébrilement, il en écartait les lèvres, dévoilant la muqueuse rosée.
La chèvre semblait avoir l’habitude de la chose, car elle creusait les reins et fléchissait légèrement les pattes postérieures. D’un geste brusque, Aristide introduisit son pouce dans le vagin largement ouvert qu’il se mit à fouiller avec une sorte de rage contenue. L’animal, passif, l’œil sans expression, se laissait faire. Les frissons qui parcouraient son pelage blanc pouvaient être interprétés aussi bien comme un signe de satisfaction que comme une terrible répulsion mêlée de peur.
Elodie avait planté ses ongles dans le bras de Jean-Max. Elle avait le souffle court. Une forte rougeur lui était montée au front. Le garçon n’en revenait pas. Il regardait, avec un certain écœurement, cet homme qui triturait le sexe d’une chèvre. Et il sentait monter en lui une curiosité malsaine qui faisait battre deux petites veines sur ses tempes.
Aristide retirant son pouce gluant, était allé quérir une bouteille cachée sous la paille.
— C’est de l’huile, souffla Elodie dans l’oreille de Jean-Max. Pour que ça rentre mieux.
Effectivement, Aristide était en train de s’enduire le sexe d’un liquide épais et gras. Puis, il en badigeonna la vulve de l’animal. Ces opérations semblaient l’avoir terriblement excité. Son visage virait au rouge vif.
— C’est dégoûtant, chuchota Jean-Max.
— Il le fait presque tous les soirs, et toujours avec la même chèvre, précisa Elodie.
Aristide avait pris fermement sa bite en main et, maintenant son étreinte autour de la chèvre, il la guidait vers le trou béant. Enfin il poussa violemment son ventre en avant et s’engouffra dans le ventre de la chèvre.
Elodie avait saisi la main de Jean-Max et la serrait fortement, révélant ainsi l’émotion qui lui remuait le ventre. Le garçon tenta de dire quelque chose, mais, d’un regard, elle lui intima l’ordre de se taire. Ce n’était pas le moment de donner l’alerte au berger.
Celui-ci donnait des coups de reins terribles. Il sortait presque totalement son énorme membre pour le replanter aussitôt, enfoncé jusqu’aux poils. Chaque fois, le choc projetait la bête en avant. Mais elle était solidement entravée et ne pouvait se soustraire au gros saucisson veineux qui la remplissait. Dehors, la nuit était silencieuse. On n’entendait que les râles de plaisir que laissait échapper l’homme et le claquement de son bas-ventre contre la vulve humide.
Aristide accéléra ses mouvements. Il tenait maintenant la chèvre à deux mains, ses doigts plantés dans les flancs. Le visage cramoisi, les yeux révulsés, les narines pincées, il se renversa brusquement en arrière, le corps parcouru de longs frissons. Jean-Max comprit que l’oncle d’Elodie éjaculait.
Aristide eut un dernier soubresaut. Puis, il se retira de la chèvre, remonta son pantalon, dénoua la corde qui retenait l’animal prisonnier, et s’en alla, emportant la lampe-tempête avec lui.
Jean-Max et Elodie se retrouvèrent dans le noir complet.
Le silence était pesant, chargé d’émotions troubles. Jean-Max sentait le jeune corps d’Elodie, tout chaud contre le sien. Il respirait son haleine à quelques centimètres de lui quand elle parlait. Il aurait pu facilement lui prendre un baiser. Il en avait très envie. Il n’osa pas.
— Tout de même, c’est un beau salaud, ton oncle, finit par dire Jean-Max.
— Comment tu veux qu’il fasse ? dit Elodie. Il vit tout seul ici, à longueur d’année.
Elle n’avait pas lâché la main de Jean-Max. Il sembla même au garçon qu’elle se pressait un peu plus contre lui. Il percevait sa chair, jeune et déjà épanouie, sous le tissu léger de la robe.
— Même si je vivais seul, je ferais pas des choses comme ça, s’indigna Jean-Max.
— Tu as déjà fait l’amour ? questionna Elodie.
— Deux fois, souffla le garçon avec une pointe d’orgueil dans la voix.
A nouveau, le silence. Jusqu’à en être gênant. Chacun attendait que l’autre fasse le premier pas. Finalement, Jean-Max se décida, il avança sa main libre vers la fille, pour lui caresser le ventre, ou les seins. Mais au même moment, Elodie se leva.
— Bon ! Je vais me coucher. Demain, il faut se lever tôt. Les moutons connaissent pas la grasse matinée. Ciao !
Elle partit, laissant derrière elle un parfum légèrement poivré, mêlé de transpiration.
Jean-Max très ému, la suivit jusque sur le pas de la porte. Il vit que, dans le jardin inondé de lune, elle s’accroupissait, la robe relevée par-dessus les fesses. Il put alors constater qu’elle ne portait pas de culotte. Un liquide ambré jaillit d’entre ses cuisses avec une puissance surprenante.
Alors, il ouvrit sa braguette, sortit sa verge et, très rapidement, libéra son sperme qui gicla dans l’herbe.